On pense à tort que le plus dur sera de quitter son pays natal, mais le retour l’est davantage.

On pense à tort que le plus dur sera de quitter son pays natal, mais le retour l’est davantage.

La grande majorité des personnes avec qui j’ai pu échanger, ressentent du stress, de la peur, de l’angoisse au moment du départ. Et cette même question qui revient: pourquoi je suis en train de faire ça ?

Mais, ils ne pensent pas une seconde au retour qui lui, sera bien plus difficile…

On parle ici d’un sujet que l’on évoque peu, le « choc du retour » ou « déprime post expatriation »

Un semestre, une année à l’étranger ou plus, change une personne, mentalement et parfois même physiquement.

Entre découvertes, rencontres, adaptation à un nouveau mode de vie, de travail ; comment retourner à sa vie d’avant ? Comment dire au revoir aux personnes que l’on a rencontré, aimé (sans la certitude de les revoir) ?

Je l’ai personnellement ressenti en rentrant de Mexico City. De la nostalgie à la déprime, de l’ennui et ce sentiment d’irritabilité… On ne veut plus rien faire, et on ne cesse de repenser aux moments là-bas, en cherchant la moindre opportunité pour y retourner.

Alors si vous partez à l’étranger, préparez votre retour, c’est important, car il sera probablement douloureux.

Avec Safexpat, nous accompagnons également nos clients dans la phase de retour, une fois l’expatriation terminée, par le biais de Safexpat Le Club. Ainsi ils gardent un réseaux de contacts sur place pour un éventuel retour.

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Chez Safexpat, nous accompagnons les 18-28 ans dans leur expatriation. Étude, échange universitaire, stage international, V.I.E/V.I.A…

Garantir une expérience réussie et sécurisante.

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